Ding! Ding ! Klang! Crshhhhhhhhhhhhhhh...Signal !
Pour amateurs de guitares qui sentent le souffre, Prog’ d’outre-tombe et Blup blip blop de vieux synthétiseurs. De Blitzkrieg fuzz et de geyser free. De basse échappée des cachots de Minas Morgul et de batterie Nostromo filant à toute berzingue. De solos vicieux et bends assassins. De Krautrock douché à l’acide et jazz cosmique de comics. Il y a des échos lointains et des rêveries, des choeurs célestes illuminant l’espace. De la répétition. De la répétition. Des voix ancestrales, du heavy metal et des rites extraterrestres anciens. Du doom Abyssal et noise Apocalyptique. Il y a du chaos. Et il y a du silence. » - SLIFT
« La guitare fait des merveilles comme on n'en n'a pas entendues depuis longtemps » - TELERAMA « Grande épopée space rock » ★★★★ - ROCK & FOLK « L'ambition était grande, le résultat se montre à la hauteur » - 8/10 - NEW NOISE
Closet Disco Queen, au départ, c’est la moitié de Coilguns : Luc Hess (poum-tchac) et Jona Nido (drelin-drelin), qui s’ennuyaient ferme entre deux tournées, ont monté en 2015 un orchestre de party-rock instrumental, soniquement épais et jouissif. Par la grâce du Palp Festival, qui leur a « commandé » un concert inédit, ils sont cette année additionnés des « Flying Raclettes », soit une version à quatre. C’est toujours instrumental, mais soniquement encore plus épais et résolument toujours très jouissif.