Wegferend invoque des histoires. De celles que l’on raconte au coin du feu lorsque la pluie tombée, le ciel hésite à laisser poindre entre les nuages noirs les lueurs dorées du soleil. Il puise son inspiration à plusieurs sources : la folk de Loreena McKennit et des premiers temps de Faun, les musiques traditionnelles, et le métal cher au cœur de ses membres. Ainsi, les trois musiciens déclinent leur identité sous les traits d’une folk onirique oscillant entre contemplation et brutalité.
Elle évoque tant le désespoir que la libération, la transcendance, le fanatisme religieux ou les croyances antiques. C’est un monde poétique et vivant, vibrant de nature et d’histoires humaines qu’ils nous font découvrir en ouvrant les portes de l’Autremonde.

Les concerts du groupe ont tous affichés complet jusqu'ici, YouTube s'affole. On parle d'un "nouveau Heilung, en plus vénère". Et pour cause, Eihwar, c'est le sacrilège, la brutalité. Une musique hybride, mêlant chants rituels, tambour chamanique et puissantes machines. Eihwar, c'est la promesse d'un vrai dancefloor Viking pour une fin de soirée sans compromis.