Situé au carrefour (ou pas) de l’art expérimental barge, des transfusions de sang contaminé, de l’humour gras du phacochère, de l’esprit intellectuel des films du Stallone des années 80, l’œuvre de COBRA, groupe cultissime prônant l’outrage et la destruction (si, si, on vous l’assure) se dresse fièrement.
Du heavy, du noise, de la vendée, avec un zeste de metal et de punk.